Petite indienne
Ne pleure pas petite indienne
tes larmes deviennent les miennes
ton coeur blessé cri sa peine
toi ma petite indienne .
Il sont venus bruler ta terre
souiller les ruisseaux et les rivières
ne pleure pas petite indienne
ton peuple brille dans tes petites veines
ne pleure pas petite indienne
l’ aube avance dans les plaines

Théodore
J ‘ai eu la chance
de rencontrer le désert,
ce filtre, ce révélateur,
il m’a façonné , appris l’ existence,
il est beau, ne ment pas,
il est propre,
C ‘ est pourquoi il faut
l ‘ aborder avec respect .
Il est le sel de la terre
et la démonstration
de ce qu’ ont pu étre la naissance
et la pureté de l’homme
lorsque celui-ci fit ses premiers pas
d’ Homo erectus ….
Théodore Monod
Comme toi Théodore
Comme toi Théodore
Comme un enfant , j’ ai révé de ses Méharées,
de ses lieux perdus ou l’ ame se redresse,
de ses premiers pas heureux de l ‘ humanité ( Homo erectus)
pourtant , a jamais perdus dans cette marche robotisée suicidaire .


Se Réenchanter
Le jour se lève sur l’ étang de berre .
L’ huile d’ olive coule finement à travers les interstices d’ une mie de pain grillée , laissant apparaitre le rouge éclatant d’ un coulis de tomate fraichement écrasé .
Un filet de thé rempli mon petit verre d’ une fine mousse au couleur miel .
Une fusée bleu au poitrail orange viens de passer . Il est là tout les matins et péche : le Matin pécheur .
Un vol d’ oies , migrants plus au sud, jacassent au dessus de ma téte .
Une famille de chardonneret se posent sur une petite branche morte .
Un couple de Cygne , tout juste réveillés , entament leurs ballades matinales .
Les cormorans plongent sans cesse pour quelques fois engloutir une sole dans leurs becs .
Deux corneilles se disputent la vue en haut d’ un vieux poteaux .
Le miroir de l’ étang reflète la lumière du ciel chargé , un jardin pour les palourdes colorées .
Quoi d’ autre , comme dirait quelqu ‘un en anglais !
Le soleil brille à son zénith et il est déjà midi .
Quelqu’ un toc à la porte : Une vielle Dame ridée aux regard pétillant, la Dolce Vita ,
Enchanté Madame !!!
Fernand
Le long des cotes , il chasse Fernand
glisse, se faufiles, le petit serpent
d’ un éclair attrape sa proie
un gobi surpris dans l’ effroi
condamné à la nature et à sa loi


Europe
Europe, Europe
aux regard myope
regarde tes enfants dans ses campements,
tout ses perdus migrants
Que fait tu vautré , sur le cuir de ton canapé
le ventre plein et le coeur fermé !
La poésie du chamane
La poésie du Chamane amène un peu de lumière dans cette pénombre
et dans cette lumière accablante , un peu d’ ombre
Sahara le Grand
C’est l’heure douce . L’heure ou le soleil, après avoir écrasé le paysage de ses rayons trop blancs, amorce enfin sa descente sur l’ horizon des montagnes bleues , l heure ou le sable prend vie .
Le coeur de la dune se pare d’ un mauve chatoyant , de crètes aux ondulations voluptueuses d’ un pâle orange .
Perdu dans ce silence , mon esprit vagabonde, erre dans le dédale de ces courbes trop parfaites . Je m ‘ enivre d’ infini .
Sahara ! Désert magique, qui chaque soir, en une explosion de couleurs sans cesse renouvelées, m ‘ offre la beauté surréaliste d’ un monde encore empreint de puretés originelles

Au prés de ma Lune
Le ciel brille comme un champ de lucioles
dans ce tableau grandiose sans parole
je réves couché dans les dunes
à ses lueurs de clair de lune
tapis dans le sable au prés de mon feux
tout deviens simple et presque lumineux


Chanson avec Souchon
La vie ne vaut rien, la vie ne vaut rien
mais moi quand je tiens dans mes mains
les jolies petits seins de mon amie
là je dis,
rien , rien rien
rien ne vaut la vie
moi comme Souchon , je chante ma chanson
la vie est trop dure
la vie est trop dure
elle nous laves jusqu’à l’usure
mais moi ce que je préfére
les chants d’ oiseaux sur terre
et là je jure
tout tout tout
tout pour que la vie dure
Adieu
Son oeil gauche n’ était déjà plus là, adieu
alors que son oeil droit , vif et lumineux,
perlait d’ une petite goutte d’ amour seule dans son coin,
comme un aurevoir avec soin
L’ étoile filante NW 13404
Elle arrivait du confins de l’ univers
loin là bas ou l ‘ on se perd
attirée par la beauté de la terre reine
elle brillait d’un trait dans la nuit saharienne
petite étoile de l’ univers que je fis mienne

La piste bleue
Elle dominait ,irréelle
comme un mirage dans le ciel
la lumière de sa robe bleue
ravissait mon regard aux yeux bleues
elle était belle , elle était bleue
elle échangeait entre la terre et les cieux
comme un mirage , la piste bleue


L’ éléphant
Aussi délicat qu’ un bourgeon en fleur
il est là et s’ impose sans peur
ce soir mon frére aux défenses acérées
est venu pour me protéger
Une Mére
N ais pas peur mon petit
parle moi de tes soucis
de se manque d’ air
que tu prend et que tu perd
n ais pas peur mon petit
je suis là, prés de ton lit
je suis là et prend soin de ta vie
n ‘ais pas peur mon petit
mon coeur pour toi se rempli
t’ enveloppe de confiance
d’ amour et d’ esperance
Nos sens
Eveiller tout nos sens
aimer la différence
partager nos joies et nos souffrances
donner de l’ amour et du sens
voila nos références
nos préférences
notre essence
Le mamba noir
Derrière le mamba et sa beauté pure
se cache la mort sure

Le coeur émaillé
Le coeur cuivré par les flammes
bati la force et la sagesse de l’ ame
poterie mouchetée de couleurs
émaillées de fissures sans peurs
a l’ épreuve du four et des drames
alors la vie devient belle dans sa trame
L’Homoconnectus
Pilote assisté
GPS branché
portable allumé
selfis trafiqués
smailés abusés
cerveaux embrouillés
neurones fatigués
présence terminé
oies gavées
foies saturés
vite un bol d’ air
ça c’ est tarpin clair
L’ Equilibre
Ce qu’ il faut pour étre libre
c’ est peut ètre l équilibre
la téte dans les étoiles
réves de peindre sa toile
les pieds sur terre sans chaines
enracinés comme un vieux chéne
Haida peuples corbeaux
Indiens de la forét , des brumes et des océans
des orques et des baleines, libres géants
les esprits ont protégés ces lieux, ou régne le beaux
la magie des aigles, des ours et des corbeaux


Monsanto
Ils sont là , et prennent mes enfants et mon sang tot
Assèchent la vie , et font naitre tous les maux
Je caresse ces terres sauvages
avec mon regard le plus sage
cri avec forçe et rage
a ces hommes qui pillent la terre et la ravagent
qu’ ils finiront un jour en cage sans partages
ceux qui prennent mes enfants et mon sang tot
Le super Héro
Il était là pour sauver le monde
en super héro ou en James Bond
rien ne l’ arrétait , ni les balles qui grondent
ni le sourire de la joconde
à croire que ç ‘ était son role
d’ éviter l’ inversion des poles
on l’ appelait Cruise Tom
ce tout petit, tout petit homme
Silence
Il y a de belles choses sur cette terre
Quand on veux bien se taire
écouter, voir , et laisser faire
Les Apaches
A ces terres qu ‘ ont leurs arraches
Leurs coutumes, leurs costumes, je m attaches
leurs idées, leurs beautés, leurs panaches
Leurs mustang libre, sans cravaches
Je m attaches sans rellache,
Je m’ attaches à ces Apaches


Mohamed le Sahraoui
Elle préparait le thé d’ un geste élégant
de verre en verre minutieusement
son port de tète dominait fièrement
le tapis et ses coussins accueillants
L’ hospitalité chez Mohamed était de mises
l’ encens brulait, parfumait l ‘ air dans son emprise
Le temps s’ écoulait comme de fines gouttelettes
entre un tagine de chameau , son lait, et ces galettes.
Une vieille clef sahraoui liait à présent notre amitié
Mohamed, la forçe et la simplicité chez l ‘ homme souvent oublié

Un matin
Perdu à l’ autre bout du monde, l’ aube s ‘ invite
La naissance d’ un petit feux me réchauffe et crépite
Les petites branches d’ acacia se plient
sous la danse lacinante des flammes jaunies
Un petit Moula Moula s’ est posé prés de moi
et reste là ou le silence est roi
rien n ‘ est plus beau que ces petit matin là

La vie est belle
La vie est belle
comme une chanson rebelle
parfois cruelle
fines dentelles
cadeau du ciel
La sobrieté heureuse » Pierre Rabhi »
On nous dit , tout les matins, tout les matins on nous dit
On nous dit la nuit aussi , la nuit aussi on nous dit
A chaque instant, on nous dit, on nous martelle l’ esprit
Venez acheter notre produit, qui va changer votre vie
ça recommence tout les lundi, ça continue jusqu ‘ au samedi
Tout ces produits qui font envies, mais ne comble pas notre vie
Dans ce gouffre infini, esclave pour la vie , tout les matins on nous dit
Alors merci Pierre Rabhi , pour ton petit Colibri
Compagnon de voyage
Aventurier dans l ‘ ame
pret a sortir les rames
pétri par la beauté des cieux
emerveillé par la brillance des lieux
avide de pistes interdites
le soir, de feux qui crépite
c ‘est le grand frére avec qui je partage
mes plus beaux réves de voyages






Mes petits amis a plumes
Voyageurs, infatigables migrants
témoins d’ un parfum de printemps
de branches en branches ils chantonnent
sautent , volent, se moquent souvent de Newton
paradent dans leurs habits de lumière
mes petits amis à plumes légères

Beda le pêcheur de perles fines
Les boutres décorées de frises gravées dans les bois
Brillaient au soleil comme des perles rares d’autrefois
Voiles dehors, la proue majestueuse
Dominait fièrement le bleu de la mer silencieuse
Des ombres se dessinaient derrière des cordes et leurs liens
Ils rêvaient tous, au large, de l’océan Indien
Plongeaient dans les eaux cristallines
Beda et les pêcheurs de perles fines

« Nous virons à Valparaiso, Aller Hissez haut »
Rêve de gosse, elle était là, Valparaiso
Ville haute en couleur comme un tableau
Ancien repère de marins, d’aventuriers,
De conteurs, d’artistes et de contrebandiers
De ces planches et taules rapportées
A la montagne le funiculaire accroché
Ravissait mes yeux bleus enchantés.












Le voyage
Traverser le monde
Mordre la vie
Tanner sa peau
Prendre quelques rides
Et s’émerveiller comme un enfant

Le vieux chamane
Que reste-t-il du vieux chamane qui danse
De ces chants et de ces transes
De ces puits de connaissances
Quelques cœurs asséchés
Et plus personne pour y penser
Chantons la différence
C’est une forêt qui nous chante
Ces différences qui nous hantent
C’est un tableau, un peu accrocheur
Pleins de mélanges et de couleurs
–
il aimait toutes ces différences
c’était vraiment ces préférences
il en faisait toutes ces références
son carburant, son essence
–
Tous ses savoirs qui viennent d’ailleurs
Ces métissages qui rendent meilleurs
Tous ces migrants coulent comme du sang neuf
Dans nos veines flétries, nos coquilles d’œufs
–
il aimait toutes ces différences
c’était vraiment ces préférences
il en faisait toutes ces références
Son carburant, son essence
–
Toutes ces idées qui nous nourrissent
Ces odeurs, ces couleurs, et ces sons qui nous remplissent
Ces Zammours propres qui nous élèvent
Ces Zemmouriens qui nous enferment
–
il aimait toutes ces différences
c’était vraiment ces préférences
il en faisait toutes ces références
son carburant, son essence
–
Il préférait découvrir le monde
avant que les bottes ne grondent
Voler vers des terres inconnues
et se nourrir des différences perdues
( refrain)
L émerveillement
Tant de merveilles que l’homme pourrait voir,
Tant de belles choses qui nourrissent l’espoir,
Devant l’obscurité qui nous appelle,
La lumière, cette jouvence éternelle,
Illumine les ombres de la vie,
Ravive les couleurs parties,
Nous connecte à la profondeur des choses,
A l’émerveillement que la vie nous propose.
Ma princesse
Elle vient des territoires d’en bas
Du sud, du soleil, loin là bas
Elle vient du clan des panthères
Avec son regard profond et plein de mystère
Elle est rare comme une perle noire
Belle et sauvage du matin au soir
Sa démarche féline me ravis
Légère, souple et agile, elle resplendie
C’est elle, ma bien aimée, mon totem animal
Ma princesse orientale
C’est elle que je chérie
Sur cette terre, dans cette vie.

Cool
Cool, cool, l’ami
Vient te mettre à l’abri
Déleste toi de ton fardeau
Et regarde comme le ciel est beau
Simbad
Il était fort comme un dieu
Ces voiles claquaient dans les cieux
Envouté par tant de beauté
Sa proue en bois de cèdre rouge sculptée
Plongé dans l’écume parfumée
Le visage buriné, la peau salée
Son boutre au mat puissant, voiles dehors, caressait l’océan
Son regard bleu se perdait dans les courbes de ce géant
Il était fort comme un dieu
Simbad le marin heureux.
Les Amis
Comme un manteau bien chaud en plein hiver
Une bouteille d’eau en plein désert
Un parachute dans les airs
Ce sont mes Amis les plus chers
Fernand le petit serpent
Qui es tu petit serpent
Qui chasse le long des cotes , ondulant
qui glisse, porté par le courant
Curieux tu t ‘ approche et viens voir
étonné, tu aimerais savoir
Quelle est cette Ombre dans le soir



Le petit rêveur
Malgré son grand âge, il rêvait encore souvent
De ces rêves qui vous poussent et vous donnent l’élan
De ces rêves que l’on perd en vieillissant
Il rêvait de force et de courage
Pour rester encore un peu libre et sauvage
Il rêvait le cœur ouvert, imaginant
Il rêvait toujours sa vie, comme un enfant.
Voyages et poésies, indignez-vous aussi
Stéphane Hessel
Macon le cron
Avec sa figure de jeune premier
Il regarde sans bouger
Les enfants se noyer en Méditerranée
Sa cour et ses bouffons
Aussi bêtes qu’un troupeaux de moutons
Sont prêt à tous sans conditions
Ces vrais crons
Mister Zemmour
Il cherchait son animal totem
Un tigre, un ours, un aigle, une baleine même ?
Alors la chamane lui pose un problème
Son animal totem est u petit cafard blême
Merde !! Alors, quand même !
Lettre à Greta
Elle déterre la hache de guerre
Se bat pour ses idées les plus chères
Réveille les consciences sur cette terre
Les paroles de sagesses de nos grands-pères
L’amour et la tendresse de nos grands-mères
Tout ce temps passé à ne rien faire
Pour la pachamama notre terre mère
Et se taire pour ne pas déplaire
Merci Greta T.
Chanson au petit cabanon
C’est un petit coin perdu dans les pins,
C’est un petit coin pas trop vilain
Y’a Titou avec ses copains
Sont là, y foutent jamais rien
Y fument un peu, je sais c’est pas bien
Se moquent un peu des parisiens
C’est un petit coin perdu dans les pins
C’est un petit coin où l’on est bien
Dans son jardin y’a toujours son chien
L’ est tout petit, ressemble à rien
Son cabanon, perdu dans les pins
L’a fait avec ses petites mains
Des-fois y joue avec ses copains
Y sont tous là, sont musiciens
S’entraînent et jouent leur petit refrain
S’arrêtent un peu quand ils ont faim
[Refrain]
C’est un petit coin perdu dans les pins,
C’est un petit coin où l’on est bien
Il parlait souvent aux animaux
Il parlait souvent aux animaux,
Trouvait toujours les bons mots
Murmurait à l’oreille de ces amis
La joie et la tristesse aussi
Ces contes des milles et une nuits
Où les animaux et les hommes étaient réunis


Lettre à Théodore
Dis-moi Théodore, esprit des Oueds, des Ergs et des Garets
Si la nuit, le chant des dunes, raisonne toujours dans ta tête
Si les scarabées crapahutent toujours les pentes de sable et leurs arêtes
Si les gueltas précieuse sont toujours les perles que l’ont guettent
Dis-moi Théodore si les pierres polies et cristallisées dorment toujours dans le temps que rien arrête
Si dans ta demeure trop grande, les guerres et les conflits s’arrêtent
Dis-moi Théodore si les tempêtes de sable, un soir, nous emporteront dans notre quête.
A Théodore Monod

Sahara
Pendant que le monde cri, parle, jacasse
Loin là bas, où rien ne se passe,
La beauté figée, jamais ne se lasse,
Dans le silence de ces infini espaces.
La Garet El Djenoun
Là où l’homme ne vient pas
la Nature prend le pas
et de sa force pure
jaillit la sculpture
Mystérieuse et envoûtante
Elle est là et vous tente
Petit homme que vous êtes
Pour gravir ses arêtes
De sa belle robe rose
que tous les matins on lui pose
Elle est une déesse qui garde à vie
le secret de la Montagne des génies.

Merci pour ces quelques lignes évocatrices.. Elles révèlent un lien pur avec l’énergie de ce monde..
J’espère que vous continuerai à nous régaler 😀😀😀
La poésie y est ainsi que le parfum des voyages.
Eric
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merci fréro
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Merci pour le partage, le rêve et la poésie.
Des mots et photos qui transportent nos cœurs et nos âmes au sein de la toute simple beauté de ce monde…. l essence et le sens même de la vie…
Merci merci merci….
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merci a toi flo , prends soin de mon poto
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Belles images qui font rêver ! Les textes sont à ton image. On ressent sensibilité, zenitude et amour des grands espaces. Merci pour ce bonheur ! Nicole et Jean-Phi
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merci les amis
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merci Patou merci pour ce beau texte, qui me touche. Et bravo pour tes poésies, c’est magnifique.
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Merci a toi Titou pour ton » Rythme and blues »
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Coucou Patou ! Je n’avais pas encore vu ton blog ! Il est magnifique et je ne te connaissais pas ton côté poète ! Profite bien encore et rapporte nous encore de belles images ( j’en ai reconnu une ou nous étions ensemble)
Je t’embrasse !
Philou
Ps:fais corriger l’orthographe du mot Accueil !
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merci philou pour ton amitiée
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T’es voyages nous font voyagé, ta poésie nous fait rêvée,ton regard nous fait aimé
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merci Djamel a quand ta prochaine chanson ?
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Merci pour ta lumière, la douceur de tes mots, ton humour aussi et cette simple et profonde richesse que tu distilles à chaque mot. Merci pour ton généreux partage qui me va droit au coeur.
En ces temps troublés, chaque image, chaque mot apaise et incite à rêver et de cela dont nous avons tant besoin!
Delphine
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merci pour ce partage émouvant
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